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Vampires Du 25/04/2007


Brezho

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trouduc euh non traduc : ouvert comme le cul de Lewis ( marche aussi avec Vitalic :lolol: )

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trouduc euh non traduc : ouvert comme le cul de Lewis ( marche aussi avec Vitalic :lolol: )

Vitalic a fermé son cul à cause des travaux , enfin j'ai des nouvelles pompes ! air mac 90 (mac pour éviter la pub)

http://ryder35.funpic.de/airmac.jpg

Modifié par ryder35
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Vitalic a fermé son cul à cause des travaux , enfin j'ai des nouvelles pompes ! air mac 90 (mac pour éviter la pub)

http://ryder35.funpic.de/airmac.jpg

pompes de racaille^^

 

Vive les VanS :)

 

http://www.alliancekicks.co.uk/catalog/images/emerica-shoes.jpg

 

Enfin c'est pas des vans mais c'est ce que j'ai

Modifié par Grounch
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Hello à tous.

 

J'ai une petite histoire à vous raconter.

 

Je m'allume une clope et ouvre une canette de coca.

 

 

Après une bonne soirée aves des ami(e)s à Paris même, nous nous sommes quitté vers 22H30... heure raisonnable. J'ai pris le transport en commun à Chatelet (centre de Paris ou tous les chemins mènent à cette gare) pour regagner mon logement (Bagneux - Arceuil Cachan - Foyer de branleurs pour ceux qui connaissent ;) ). Quelques bières jetées dans le gosier, j'étais peinard et appréciait le voyage jusqu'à la banlieue sud de Paris. 22H30, les badauds sont cools, quelques étrangers suédois débarquent et mettent l'ambiance pendant 3 ou 4 stations... tout est tranquille, nous vivons tous ensemble en harmonie. Nous ne sourions pas extérieurement mais le plaisir y est. Nous ne sourions pas, mais nous avons tous l'oeil brillant de complaisance.

Quelques minutes plus tard, le RER s'arrête à ma station. Je bondis vaillamment jusqu'à la porte, appuie sur le bouton qui me libère et me dirige vers les tourniquets pionçonnants. Une jeune femme, la vingtaine est devant moi... elle est plutôt mignonne. Je continue mon chemin paisiblement en m'allumant une cigarette qui me donnera le courage de marcher jusqu'à chez moi, quand tout d'un coup... un groupe de "potes" s'encanaillent dans mes oreilles attendries par le calme de cette nuit douce.

"_ Premier pote : Tiens moi ma valise je vais la voir.

_ Ses potes : Hahaha, va s'y Roméo !"

Le jeune homme court et me dépasse pour rejoindre la jeune femme mignonne citée un peu plus haut. Je ne suis pas loin, et, par la force des choses, assiste involontairement à leurs dialogues intimes.

"_ Le jeune homme : Tu es super belle. Ca te dirait de finir la soirée avec moi et mes potes ?

_ La fille : Dans tes rêves !"

Le groupe de potes du jeune homme se fout de sa gueule. Son rateau monumental assisté par l'ensemble de la population, dont moi, l'énerve.

"_ Le jeune homme : Putain de salope, tu mériterais que je te vole ton portefeuille... Tu mériterais que je te viole.

_ Ses potes : Hahahaha, c'est toujours ce qu'on dit quand on se prend une veste."

Abasourdi, je continuais ma marche solitaire en diminuant quelques peu mes pas, pour me retrouver au même niveau que la nana qui marchait dans la même ruelle que moi. Je me disais que faire ? Quoi penser ? Agir ? Embrouiller ? Laisser couler ? Proposer ma présence ?... avec mon cuir et mes poings engourdis par l'alcool ?

Je regardais cete jeune femme pendant cette longue, si longue marche nocturne, dans cette ruelle. Elle pressait le pas sans se retourner, toujours le regard fixé vers l'horizon, essayant de couvrir ses oreilles d'une couverture abstraite protectrice des insultes qui l'humiliaient. Que faire, a part rester au milieu de la scène ? J'aurais pu larguer toute cette panoplie d'acteurs de mauvais film. Mais non. Je restais à niveau, fumant ma clope par le nez, essayant de décompresser un maximum, les trips noués par cette éventualité d'agir. Et la bande de troubadours toujours énergiques dans leurs paroles, dérangeant même un pauvre gars en train de sniffer une dose de cocaïne dans une cabine téléphonique "_ Hé ! Police ! Police !... Nan on déconne fréro, sniffe tranquille." Et évite la crise cardiaque me disais-je après avoir entendu ces paroles.

Nos chemins se sont divisés, notre histoire s'est divisé... moi marchant jusqu'à mon foyer, et elle ?

 

Et elle ?

 

Je ne comprends pas tout. Mais j'ai l'intime conviction que ça aurait pu être différent. Cette promenade entre la gare et chez moi aurait pu être différente.

 

Beniti.

 

Nota Bene : Cete histoire s'est déroulé il y a une demi heure (par rapport à la date de diffusion de ce message).

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Hello à tous.

 

J'ai une petite histoire à vous raconter.

 

Je m'allume une clope et ouvre une canette de coca.

Après une bonne soirée aves des ami(e)s à Paris même, nous nous sommes quitté vers 22H30... heure raisonnable. J'ai pris le transport en commun à Chatelet (centre de Paris ou tous les chemins mènent à cette gare) pour regagner mon logement (Bagneux - Arceuil Cachan - Foyer de branleurs pour ceux qui connaissent ;) ). Quelques bières jetées dans le gosier, j'étais peinard et appréciait le voyage jusqu'à la banlieue sud de Paris. 22H30, les badauds sont cools, quelques étrangers suédois débarquent et mettent l'ambiance pendant 3 ou 4 stations... tout est tranquille, nous vivons tous ensemble en harmonie. Nous ne sourions pas extérieurement mais le plaisir y est. Nous ne sourions pas, mais nous avons tous l'oeil brillant de complaisance.

Quelques minutes plus tard, le RER s'arrête à ma station. Je bondis vaillamment jusqu'à la porte, appuie sur le bouton qui me libère et me dirige vers les tourniquets pionçonnants. Une jeune femme, la vingtaine est devant moi... elle est plutôt mignonne. Je continue mon chemin paisiblement en m'allumant une cigarette qui me donnera le courage de marcher jusqu'à chez moi, quand tout d'un coup... un groupe de "potes" s'encanaillent dans mes oreilles attendries par le calme de cette nuit douce.

"_ Premier pote : Tiens moi ma valise je vais la voir.

_ Ses potes : Hahaha, va s'y Roméo !"

Le jeune homme court et me dépasse pour rejoindre la jeune femme mignonne citée un peu plus haut. Je ne suis pas loin, et, par la force des choses, assiste involontairement à leurs dialogues intimes.

"_ Le jeune homme : Tu es super belle. Ca te dirait de finir la soirée avec moi et mes potes ?

_ La fille : Dans tes rêves !"

Le groupe de potes du jeune homme se fout de sa gueule. Son rateau monumental assisté par l'ensemble de la population, dont moi, l'énerve.

"_ Le jeune homme : Putain de salope, tu mériterais que je te vole ton portefeuille... Tu mériterais que je te viole.

_ Ses potes : Hahahaha, c'est toujours ce qu'on dit quand on se prend une veste."

Abasourdi, je continuais ma marche solitaire en diminuant quelques peu mes pas, pour me retrouver au même niveau que la nana qui marchait dans la même ruelle que moi. Je me disais que faire ? Quoi penser ? Agir ? Embrouiller ? Laisser couler ? Proposer ma présence ?... avec mon cuir et mes poings engourdis par l'alcool ?

Je regardais cete jeune femme pendant cette longue, si longue marche nocturne, dans cette ruelle. Elle pressait le pas sans se retourner, toujours le regard fixé vers l'horizon, essayant de couvrir ses oreilles d'une couverture abstraite protectrice des insultes qui l'humiliaient. Que faire, a part rester au milieu de la scène ? J'aurais pu larguer toute cette panoplie d'acteurs de mauvais film. Mais non. Je restais à niveau, fumant ma clope par le nez, essayant de décompresser un maximum, les trips noués par cette éventualité d'agir. Et la bande de troubadours toujours énergiques dans leurs paroles, dérangeant même un pauvre gars en train de sniffer une dose de cocaïne dans une cabine téléphonique "_ Hé ! Police ! Police !... Nan on déconne fréro, sniffe tranquille." Et évite la crise cardiaque me disais-je après avoir entendu ces paroles.

Nos chemins se sont divisés, notre histoire s'est divisé... moi marchant jusqu'à mon foyer, et elle ?

 

Et elle ?

 

Je ne comprends pas tout. Mais j'ai l'intime conviction que ça aurait pu être différent. Cette promenade entre la gare et chez moi aurait pu être différente.

 

Beniti.

 

Nota Bene : Cete histoire s'est déroulé il y a une demi heure (par rapport à la date de diffusion de ce message).

 

Il y a tellement d'histoires :rolleyes:

 

Une fois dans une boite de nuit, un type hyper musclé mais tout petit a commencé à danser avec une fille (normal). Après quelques minutes de danse il lui a pris le poignet et a commencé à la tirer vers la sortie. La fille se débattant légerement : "mais mais, lache moi" et lui "Suis-moi ! Suis-moi jte dis !". La fille a alors violemment arraché son poignet de sa main en disant "NON !!". Immédiatement le type s'est retourné et l'a plaquée contre le mur en brandissant son poing comme si il allait lui envoyer un direct et il lui a crié "maintenant tu me suis salope !!" La fille s'est laissée faire et elle est partie avec lui. Il l'a surement violé, plus de 30 personnes ont été témoins mais personne n'a bougé... c'est ainsi... faut croire qu'on en a rien à faire qu'une fille se fasse violer sous nos yeux, ce qui importe c'est le fait qu'on risque sa vie ou au moins de se blesser pour sauver la fragilité de quelqu'un...

 

edit : grounch, c'est pas si simple, tu verras si tu te retrouves dans une situation pareille.

 

En tout cas bon dodo

Modifié par Mightytyphoon
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TRINITA........

 

t'as mal fait ça, t'aurais du lui proposer ta présence.

 

compte tenu du bas niveau d'intelligence de ces merdeux, tu aurais pu avoir l'opportunité de découvrir une nouvelle personne.

 

La vie est pleine de petits évènements qui nous offres des possibilitées. Il n'en tient qu'à nous de tenter le sort.

 

bref, pour les heures et jours qui vont suivre, tu te posera des questions.

 

tu ne peux que te mordre les doigts et espérer la recroiser en revenant un soir et cette fois-là, tu auras déjà un point en commun avec elle pour lancer la conversation c'est-à-dire, les connards sans classe qui ne savent pas aborder les femmes.

 

 

voilà, bonne réflexion

Modifié par Masta
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